Cette note sera plus... casual.
Une trêve dans les jeux olympiques, si je puis dire.
Les épisodes 2 et 3 se sont produits dans la même journée, aussi incroyable que cela puisse paraître.
Cette journée était celle du 4 février 2009, autant dire que ça commence à dater.
Depuis, il s'est bien sûr passé plein plein plein de choses fantastiques et merveilleuses avec cette nouvelle collègue de haut vol.
Un peu trop d'ailleurs, j'ai quelque peu oublié certains événements qui auraient pourtant mérité une médaille d'or, que dis-je, de platine !
Madame a donc un surnom. Comme tout élément perturbateur, on ne peut l'appeler par son prénom officiel, ce serait trop... ouais.
L'origine de ce sobriquet prend son origine également dans cette fameuse journée du 4 février.
L'après-midi même, madame est donc allée faire les magasins pour acheter différentes choses pour son bureau.
Un tableau (moche).
Deux orchidées (où y a de la gène...)
Des câbles pour l'ordinateur (qui restent un mystère total, personne ne les a jamais vus)
Des petites cuillères (alors que le restaurant, à 10 pas, a des wagons entiers de cuillères)
Des chiffons et articles de nettoyage (alors que nous avons un service d'intendance).
Pour faire court, la somme dépensée pour des achats parfaitement inutiles et redondants équivaut à la moitié de mon augmentation à l'année.
On imagine aisément que là, j'ai commencé à moins rigoler.
Découvrant ce fait une semaine plus tard, je n'ai pu m'empêcher d'en informer l'ami comptable qui lui aussi, a sauté au plafond (l'est pas comptable pour rien lui).
Dans l'adversité, les troupes se resserrent paraît-il.
Depuis l'arrivée de cette charmante catastrophe, force est de constater que tous les autres employés s'entendent à merveille.
Oubliées les anciennes querelles, balayées les vieilles rancunes, on s'aime, on se soutient.
Pathétique, mais vrai.
Un mercredi, alors que je savourais mon après-midi de solitude dans mon bureau rien qu'à moi, le comptable me téléphone.
"Elle est pas chez vous ?"
non
"Mais elle est où ? Je l'ai vu partir mais là je sais pas..."
moi non plus mais c'est pas grave, tant qu'elle est pas chez moi
"Ah elle m'a demandé le catalogue XYZ"
ah ? et ?
"Elle veut commander une cafetière..."
ben tiens... est-il besoin de préciser que le restaurant a une merveilleuse machine à café qui fait, en plus, des cappuccinos ???
Deux jours plus tard, le comptable m'appelle à nouveau.
"Elle est chez vous la cafetière ?"
Et voilà.
Bingo.
Pas mieux.
J'aime.
Comme il est souvent difficile de se mettre d'accord sur les surnoms, j'ai glâné ça et là les différentes façons d'appeler celle qui est pour moi "la cafetière".
Première étape : "La princesse".
Deuxième étape : "L'impératrice".
Ces deux surnoms sont arrivés indépendamment l'un de l'autre, ce qui est hautement symptomatique de l'attitude de la cafetière.
On s'amuse, on rigole, c'est bien fun.
La semaine prochaine, on reprend les jeux olympiques après cet épisode défoulatoire.
Je te raconterai comment la cafetière a tenté de me tuer.
Une trêve dans les jeux olympiques, si je puis dire.
Les épisodes 2 et 3 se sont produits dans la même journée, aussi incroyable que cela puisse paraître.
Cette journée était celle du 4 février 2009, autant dire que ça commence à dater.
Depuis, il s'est bien sûr passé plein plein plein de choses fantastiques et merveilleuses avec cette nouvelle collègue de haut vol.
Un peu trop d'ailleurs, j'ai quelque peu oublié certains événements qui auraient pourtant mérité une médaille d'or, que dis-je, de platine !
Madame a donc un surnom. Comme tout élément perturbateur, on ne peut l'appeler par son prénom officiel, ce serait trop... ouais.
L'origine de ce sobriquet prend son origine également dans cette fameuse journée du 4 février.
L'après-midi même, madame est donc allée faire les magasins pour acheter différentes choses pour son bureau.
Un tableau (moche).
Deux orchidées (où y a de la gène...)
Des câbles pour l'ordinateur (qui restent un mystère total, personne ne les a jamais vus)
Des petites cuillères (alors que le restaurant, à 10 pas, a des wagons entiers de cuillères)
Des chiffons et articles de nettoyage (alors que nous avons un service d'intendance).
Pour faire court, la somme dépensée pour des achats parfaitement inutiles et redondants équivaut à la moitié de mon augmentation à l'année.
On imagine aisément que là, j'ai commencé à moins rigoler.
Découvrant ce fait une semaine plus tard, je n'ai pu m'empêcher d'en informer l'ami comptable qui lui aussi, a sauté au plafond (l'est pas comptable pour rien lui).
Dans l'adversité, les troupes se resserrent paraît-il.
Depuis l'arrivée de cette charmante catastrophe, force est de constater que tous les autres employés s'entendent à merveille.
Oubliées les anciennes querelles, balayées les vieilles rancunes, on s'aime, on se soutient.
Pathétique, mais vrai.
Un mercredi, alors que je savourais mon après-midi de solitude dans mon bureau rien qu'à moi, le comptable me téléphone.
"Elle est pas chez vous ?"
non
"Mais elle est où ? Je l'ai vu partir mais là je sais pas..."
moi non plus mais c'est pas grave, tant qu'elle est pas chez moi
"Ah elle m'a demandé le catalogue XYZ"
ah ? et ?
"Elle veut commander une cafetière..."
ben tiens... est-il besoin de préciser que le restaurant a une merveilleuse machine à café qui fait, en plus, des cappuccinos ???
Deux jours plus tard, le comptable m'appelle à nouveau.
"Elle est chez vous la cafetière ?"
Et voilà.
Bingo.
Pas mieux.
J'aime.
Comme il est souvent difficile de se mettre d'accord sur les surnoms, j'ai glâné ça et là les différentes façons d'appeler celle qui est pour moi "la cafetière".
Première étape : "La princesse".
Deuxième étape : "L'impératrice".
Ces deux surnoms sont arrivés indépendamment l'un de l'autre, ce qui est hautement symptomatique de l'attitude de la cafetière.
On s'amuse, on rigole, c'est bien fun.
La semaine prochaine, on reprend les jeux olympiques après cet épisode défoulatoire.
Je te raconterai comment la cafetière a tenté de me tuer.
Elle n'a rien d'autre à faire que des achats pour le bureau ?? Purée, vous embauchez toujours ? Je peux postuler ?
RépondreSupprimerLe pire donc, c'est que c'est TA BOITE qui a payé pour toutes ces conneries. Ah non mais moi qui doit m'acheter mes propres stylos billes, je suis sciée!!
RépondreSupprimerLa suite!! La suite!!
On attend la suite !! tu te fais trop rare !!
RépondreSupprimerHum... En fait t'es jalouse c'est ça ? héhéhéhé!
RépondreSupprimerToi aussi tu veux ta propre cafetière à toi ? Mais si, avoue.
RépondreSupprimerouai elle m'a l'air de plus en plus chelou cette personne!
RépondreSupprimerFigèle : nan je crois que là, on a eu notre dose :p
RépondreSupprimerVal: Je te le fais pas dire. Mardi prochain ;)
Malou : Idem.
Heidi : ouais c'est clair ! Moi qui voulait justement une machine à G. Clooney dans mon petit bureau :p
Teras : Je l'ai déjà. Et l'achat ne fut pas très... rentable :D
Princesse P : Chelou, relou... un peu tout le verlan s'applique à ce phénomène ^^.